Un jardin au nom de Yannick Noah, la star mondiale du tennis a été inauguré, la visite du site OTA a été au menu des activités menées, dimanche 18 février 2024.

Le dernier jour de la commémoration du 25ème anniversaire d’OTA a été riche en son et en couleur. La journée a débuté par la visite du cour de tennis dans un hôtel de la place dans un hôtel de la place. Puis, une escale a été faite au domicile de Joseph Oyebog à Bonabéri dans le quatrième arrondissement de la ville de Douala. Dans ce lieu, des enfants ont montré leur enthousiasme à tenir la raquette et en effectuant des touches de balles. C’était sous le regard admiratif de Yannick Noah, la légende mondiale du tennis.

 L’après-midi du 18 février 2024 va se poursuivre à Nkake-Souza, lieu où est situé le complexe sportif OTA. C’est à une quarantaine de kilomètre de la ville de Douala. Ici, la toute première activité menée sur le site a été l’inauguration du jardin Yannick Noah. Samuel Dieudonné Ivaha Diboua, le gouverneur de la région du Littoral venu personnellement ce dimanche a coupé, conjointement le ruban symbolique avec la star du tennis mondial. « La symbolique du jardin est très importante. C’est quelque chose qui me touche beaucoup plus que d’avoir un cour de tennis à mon nom. Je suis très touché par cette attention », s’est réjoui Yannick Noah. C’est sa quatrième visite à OTA. Pour Joseph Oyebog, le président fondateur d’OTA, sa présence une fois de plus à ce complexe est un honneur et cela motive les enfants à devenir comme lui.     

Au cours de cette journée marquant la fin de la commémoration du quart de siècle d’OTA, l’équipe qui ont remporté le tournoi national inter-club de tennis a été primé. Maxime Sossa et ses coéquipiers ont soulevé le trophée de champion de ce tournoi national inter-club. « C’est la stratégie et les techniques qui nous ont permis de nous déployer. Techniquement, on a su gérer. Cette année c’est notre doublée. Le niveau de la compétition était bonne », a-t-il confié. Dans la catégorie sénior dame, Delisle Manantsop  a été sacrée.

Yves Léopold Kom à Souza